Malgré les immenses progrès enregistrés par la science depuis deux siècles, les origines de la vie persistent à conserver une sérieuse part de mystère : tant de hasards se sont succédés depuis le point de départ, le « big bang », qu’il semble raisonnable de se poser quelques questions…
Déjà ce fameux « big bang » n’est pas particulièrement évident : le « réglage » de ses 26 paramètres fondamentaux s’avère d’une précision inconcevable. Le grand Einstein considérait l’atterrissage des lettres de l’alphabet, lancées en l’air, dans leur ordre réglementaire, comme infiniment plus probable que le « réglage » des données du Big Bang ; avec un écart de 0,001 % sur l’un des quatre paramètres, pas d’étoiles dans le ciel !
Ce merveilleux réglage de la matière stellaire, qui est remarquablement décryptable, ( encore un point étonnant!) va permettre la naissance des planètes…
Sur la nôtre, judicieusement placée à la bonne distance du soleil, la vie va apparaître dans des circonstances qui demeurent assez énigmatiques : la découverte de son « matériaux » de base, l’ADN vient encore complexifier le problème, dans la mesure où les données fondamentales de cet ADN s’avèrent résolument encyclopédiques : rien que le hasard !
La vie va pouvoir se développer et s’épanouir dans toutes les directions, du plan le plus simple vers le plus complexe, mais avec un grand nombre d’organisations et de coopérations inter-espèces qui posent question, si on veut bien se poser et les regarder de près…
Le monde végétal nous montre déjà un niveau d’organisation absolument remarquable : un arbre, à priori , est-ce simplement du bois et des feuilles ? Évidemment non ! C’est déjà le purificateur surdoué de l’atmosphère, puisqu’il utilise pour sa croissance les atomes carbone du gaz carbonique, et rejette les atomes d’oxygène !
Et c’est évidemment un être vivant, capable dans certains cas de réactions fraternelles, vis-à-vis de ses voisins : certains arbres des savanes africaines , dégustés par les girafes, émettent un gaz que les arbres voisins peuvent capter, et engendrer une substance répulsive qui va les rendre répugnants ! Homo sapiens serait bien incapable de mettre au point pareille coopération ! Il ne s’agit là que d’une infime part des merveilles de l’organisation de ce monde végétal que les êtres humains maltraitent tellement…
Si nous nous penchons sur le monde animal, les « trouvailles » du vivant s’avèrent encore plus stupéfiantes.
Ainsi, l’ « évolution » a fait apparaître le poisson pêcheur, un animal assez informe, équipé sur le dessus de la tête d’une sorte de tige, à l’extrémité de laquelle pend un appât : un poisson qui se laisse attirer a toutes les chances de se faire engloutir dans une énorme gueule ! On peut en déduire que l’évolution invente la pêche à la ligne, bien avant homo sapiens…
Autre réussite hors norme de l’évolution : la gymnote , grande anguille de l’Amazonie, équipée pour s’orienter dans les eaux vaseuses d’un émetteur d’électricité (assez puissant pour provoquer la mort d’un nageur qui passerait à proximité ! ). Qu’un poisson se montre capable, dans l’eau, d’égaler une bonne dynamo illustre un aspect assez stupéfiant de l’évolution, et carrément improbable !
Dans un style plus pacifique, on peut s’intéresser aux camouflages, bien illustrés par les phasmes, ces insectes-brindilles qui se confondent résolument avec la végétation : encore une performance !
Les coopérations animaux-végétaux méritent aussi d’être soulignées ! La merveilleuse association-pollinisation abeilles-arbres fruitiers nous un donne un bel exemple : qui était là en premier, l’abeille ou le pommier ?
Les interminables processions de fourmis tropicales, apportant à leur arbre nourricier les fragments de certaines feuilles indispensables pour sa survie, illustrent de façon saisissante l’intelligence de la nature, et il serait possible de multiplier des exemples de cet ordre !
L’inconcevable subtilité de l’organisation du monde dans lequel nous vivons devrait nous conduire à une conclusion logique : cela ne peut pas résulter du hasard, la doctrine « matérialiste » n’est pas vraiment rationnelle !
Or une très « spéciale » expérience vécue par un nombre significatif d’êtres humains peut nous apporter, si on veut bien oublier nos présupposés, un éclairage capital, l’expérience de mort imminente…
Il faut rappeler en introduction comment cette extraordinaire expérience fut mise à jour : un médecin américain, le docteur Raymond Moody, alerté par le fort étonnant témoignage d’un patient ayant frôlé la mort, s’était lancé dans une enquête approfondie dans sa clientèle, ce qui lui avait révélé des expériences fantastiques et concordantes, en nombre inattendu…
Il écrit et fait publier un petit ouvrage, à ses frais, « La vie après la vie » : succès spectaculaire, le livre sera réédité puis traduit dans la plupart des langues de la planète, et sera à l’origine d’organismes de recherche multiples : « La vie après la vie » a fait sauter le couvercle qui maintenait le tabou sur une expérience relativement fréquente et déjà exposée par Platon (résurrection du soldat Er )
Petit rappel des données de cette expérience : suite à un accident, ou dans le cadre d’une opération chirurgicale, sensation de sortir du corps : très fréquemment, le patient peut voir son corps et assister aux soins, avant de s’engager dans une sorte de tunnel ( peint par Jérôme Bosch ) à l’extrémité duquel brille une lumière intense : une minorité de voyageurs va l’atteindre, découvrant la nature de cette lumière, Amour indescriptible ; 10% iront au-delà, entrant en contact avec un « savoir universel… »
Cette minorité verra sa conception de la vie et de la mort radicalement transformée, de façon positive !
Un « voyageur » sur dix ira au-delà, découvrant un monde merveilleux, un bain d’amour incommensurable et de savoir universel… Ce revenant ne sera plus jamais le même.
Il faut aussi mentionner la possible « revue de vie » vécue par un certain nombre : en un temps fort bref, le « voyageur » va passer toute sa vie en revue, dans les moindres détails, avec en prime les sensations vécues par les personnes impliquées dans certains épisodes, positifs ou négatifs…
Si on veut bien considérer cette expérience, il faut constater qu’elle remet complètement en cause la doctrine matérialiste. La « conscience » de l’être humain existe en dehors du corps, ainsi que d’innombrables témoignages le démontrent : on a pu le vérifier en les comparant à ceux des personnes concernées : par exemple la description détaillée d’une opération ( depuis le coin gauche de la salle d’opération, un patient a constaté que son cœur était un peu gras, détail confirmé par le chirurgien!)
Tel autre, cœur à l’arrêt depuis une demi-heure, électroencéphalogramme plat, estimé décédé par le corps médical qui persiste quand même, pourra raconter comment son corps bondissait à chaque décharge électrique qui lui grillait les poils !
L’extraordinaire aventure du docteur Eben Alexander apporte un élément de poids pour explorer encore davantage cette découverte : en bon neurochirurgien, il est certain, comme tous ses collègues, que le cerveau et lui seul engendre les pensées… Jusqu’au jour où une sévère méningite le précipite durant une semaine dans un profond coma : électroencéphalogramme plat, ses collègues s’apprêtent à déconnecter la réanimation, considérant que son cerveau est définitivement détruit… De manière absolument inexplicable (miraculeuse ! ) il revient à la vie ! Non seulement son cerveau est complètement intact, mais le docteur a vécu une EMI de premier ordre ! Bien placé pour savoir que son merveilleux voyage ne pouvait pas avoir été engendré par un cerveau à la ramasse, l’évidence s’impose à lui : ce n’est pas le cerveau qui engendre la conscience ! Il a voyagé dans un monde de savoir et d’Amour infinis, comme il le décrira quelque temps plus tard dans un livre remarquable : « La preuve du paradis »
Cette conscience peut aussi se déplacer à volonté, les distances ne comptent plus : tel opéré béarnais a pu voir son fils marchant dans une avenue de New York, témoignage bien authentifié par la suite.
Elle n’est pas concernée par l’écoulement normal du temps, comme le montre la revue de vie, expérience totalement impossible, en théorie !
Un dernier point mérite d’être souligné : parmi les 10 % de « privilégiés », certains sont entrés en contact non seulement avec un extraordinaire Amour, mais aussi avec la «Science », une connaissance universelle ! Ainsi, ce mécanicien revenu à la vie avec le mot « quanta » lui tournant dans l’esprit : en présence de la Lumière, il savait TOUT ! Retrouvant une vie normale, il découvre à la bibliothèque voisine de quoi il s’agit, et va se lancer dans des études universitaires débouchant sur une licence de physique quantique ! Le « voyage » du docteur Alexander allait dans le même sens, la communion avec le Savoir qui organise l’univers !
À chacun de tirer une conclusion, mais il serait possible de multiplier à l’infini les faits solidement attestés, démontrant de façon irréfutable que la théorie matérialiste est devenue désormais insoutenable, le cerveau n’engendre pas notre conscience !